marie do,marie dô,marie-do,marie-dô,chaize,aumont,danseuse,alvin ailey american dance theater,fais danser la poussiere,dunes sauvages,dancing rose,volcaniques,qu'importe la lune quand on a les etoiles,danse,roman,sexualité,écrivain femme,noir,différence,nouvelles,psychogénéalogie,fauve,MARIE DÔ commence la danse classique à l’âge de sept ans. Elle devient danseuse professionnelle à 16. Entre autres compagnies de ballet, elle est engagée à l’âge de dix neuf ans par le célèbre « ALVIN AILEY AMERICAN DANCE THEATER » de New York. Passionnée de poésie, de littérature depuis l’enfance, Marie Dô trouve dans l’écriture un nouveau souffle. En 2006, elle publie son premier roman : FAIS DANSER LA POUSSIERE aux éditions PLON, basé sur sa propre histoire. Il est adapté en Téléfilm sur France 2 en 2010.


LES DUNES SAUVAGES
Editions Plon - 2016
Un quarantenaire urbain en crise est contraint de passer un été dans un camp naturiste et se découvre – au propre comme au figuré. Un roman initiatique drôle, émouvant et lumineux sur notre tentative d'échapper à la frénésie individualiste contemporaine.
Rien ne va plus. Divorce, métier éreintant, fuite en avant, alcool et somnifères inopérants : Sébastien n'a pas le choix, il doit prendre des vacances. En urgence.
Ses finances exsangues le contraignent à atterrir au camp Robinson, dans le bungalow de son ex-femme, qu'il n'a jamais pris le temps de visiter. Sur place, le quarantenaire en crise, roi de l'hyper-contrôle et maniaque des apparences découvre, atterré, son pire cauchemar : un camp naturiste et ses occupants à la spiritualité à des années-lumière de la sienne. Le corps et le coeur à nus, Sébastien doit composer avec ses étranges congénères. Au milieu des dunes, face à l'infini de l'océan, il se débat avec ses préjugés, ses fantômes et ses doutes, pour échapper au marasme existentiel qui le dévore.

Plus haut dans le ciel, le soleil commençait à chauffer.
Tout ici incitait à se dévoiler à outrance, l’infini de l’horizon, la vastitude du ciel, de l’océan, les déferlantes et leurs complainte intarissables, la démesure environnante, cette nudité corporelle qui cassait les limites, mettait dans une obligation d’authenticité.
Nu, on devenait transparent on lâchait ses défenses en même temps que sa pudeur, on épluchait ses bobos intimes comme on traquait un poil superflu... »



"Un roman d'une grande intelligence sur la crise de la quarantaine, le naturisme, la liberté et la réconciliation avec soi."
METRONEWS

"Un roman doux et bienveillant."
BLABLABLAMIA-canalblog

"Marie Dô nous offre avec les dunes sauvages, un beau et surprenant voyage initiatique."
FEMININPLURIEL